Un silence à faire peur et l’impression d’être observée à travers les murs

«J’habite dans une rue sans issue de maisons mobiles et au bout de la rue c’est un champ où il y a des lignes à hautes tensions d’Hydro-Québec. Ce soir du 14 février 1977, je venais de coucher mon bébé 4 mois. Je m’installe pour regarder la télévision et quelques minutes plus tard je vois un reflet . . . de lumière très claire à travers mes rideaux qui sont en velours rouge très épais. Je ne comprenais pas car selon l’angle de la route, c’est impossible d’avoir un reflet de lumière d’automobile dans ma fenêtre. Je vais voir par la fenêtre et je vois une soucoupe fixe au-dessus de la maison en face de la mienne. Je ne suis pas apeurée, au contraire, je suis contente de voir une soucoupe volante de mes yeux. Je m’habille pour aller voir à l’extérieur, pensant que d’autres résidents de la rue la voient. Je descends les marches de la galerie, car nous avions un portique d’hiver et j’arrive à l’entrée de voiture. J’étais là à la regarder. Il y avait 6 lumières sous la soucoupe. Ce qui me fascinait c’était de la voir réellement et qu’il n’y avait aucun son. Et là, je ne sais pas ce qui s’est passé, mais une peur indescriptible m’a envahie. J’avais tellement peur que j’ai monté les marches de la galerie à quatre pattes. Je suis rentrée de peine et de misère dans la maison. J’ai barré la porte et toujours en marchant à quatre pattes je suis allée dans la chambre de mon fils. Je l’ai pris dans mes bras et je me suis couchée dans le corridor où il n’y avait pas de fenêtre tout en protégeant mon bébé. J’avais l’impression que ces êtres me voyaient quand même. Je tremblais de peur. Je voyais toujours le reflet de lumières par la fenêtre de mon salon et tout à coup les lumières s’éloignaient tranquillement. J’ai attendu de ne plus les voir et je suis allée voir par la fenêtre du salon mais très discrètement. La soucoupe avançait parallèlement à la rue vers les lignes de haute tension mais très lentement. Je suis allée recoucher mon bébé. J’étais mariée à cette époque avec un pilote d’avion. Alors, je savais très bien que ce n’était pas un avion ni un hélicoptère. J’avais le numéro de téléphone de la tour de contrôle de l’aéroport de Québec et j’ai téléphoné tout de suite pour savoir s’ils avaient quelque chose sur leur radar. Le préposé m’a certifié qu’il ne voyait rien à cet endroit sur son radar. Durant que je lui parlais, je voyais toujours l’objet s’éloigner très lentement. Le lendemain, j’ai demandé à mes voisins s’ils avaient vu quelque chose, mais ils n’étaient pas chez eux ce soir là. J’ai été vraiment marquée par cet événement à un point où je ne veux plus revoir une telle chose de ma vie alors qu’auparavant, je trouvais chanceux les gens qui pouvaient en voir. Ça m’a pris un certain temps avant d’être capable de vivre normalement sans avoir peur d’en revoir une de ces nuits.…»

– Le témoin, 72 années

«« Retour au tableau

L’observation en bref

Numéro de dossier AQU-2015/05/04-01
Date du rapport 2015/05/04
Date de l’observation 1977/02/14
Heure de l’observation 20H30
Lieu St-Étienne-de-Lauzon
Région 12 – Chaudière-Appalaches
Résumé Un silence à faire peur et l’impression d’être observée à travers les murs

 

Spécificités de l’observation

Nb de témoin(s) 1
Forme de l’objet rond
Couleur de l’objet gris
Distance de l’objet environ 100 pieds
Altitude de l’objet 50 pieds environ
Vitesse approximative fixe et 10 kilomètres/heure en s’éloignant
Météo Le ciel était Dégagé / La température moins 5 celsius environ
Annexe(s)  
 

 

Compte rendu du témoin

« 

J’habite dans une rue sans issue de maisons mobiles et au bout de la rue c’est un champ où il y a des lignes à hautes tensions d’Hydro-Québec. Ce soir du 14 février 1977, je venais de coucher mon bébé 4 mois. Je m’installe pour regarder la télévision et quelques minutes plus tard je vois un reflet de lumière très claire à travers mes rideaux qui sont en velours rouge très épais. Je ne comprenais pas car selon l’angle de la route, c’est impossible d’avoir un reflet de lumière d’automobile dans ma fenêtre. Je vais voir par la fenêtre et je vois une soucoupe fixe au-dessus de la maison en face de la mienne. Je ne suis pas apeurée, au contraire, je suis contente de voir une soucoupe volante de mes yeux. Je m’habille pour aller voir à l’extérieur, pensant que d’autres résidents de la rue la voient. Je descends les marches de la galerie, car nous avions un portique d’hiver et j’arrive à l’entrée de voiture. J’étais là à la regarder. Il y avait 6 lumières sous la soucoupe. Ce qui me fascinait c’était de la voir réellement et qu’il n’y avait aucun son. Et là, je ne sais pas ce qui s’est passé, mais une peur indescriptible m’a envahie. J’avais tellement peur que j’ai monté les marches de la galerie à quatre pattes. Je suis rentrée de peine et de misère dans la maison. J’ai barré la porte et toujours en marchant à quatre pattes je suis allée dans la chambre de mon fils. Je l’ai pris dans mes bras et je me suis couchée dans le corridor où il n’y avait pas de fenêtre tout en protégeant mon bébé. J’avais l’impression que ces êtres me voyaient quand même. Je tremblais de peur. Je voyais toujours le reflet de lumières par la fenêtre de mon salon et tout à coup les lumières s’éloignaient tranquillement. J’ai attendu de ne plus les voir et je suis allée voir par la fenêtre du salon mais très discrètement. La soucoupe avançait parallèlement à la rue vers les lignes de haute tension mais très lentement. Je suis allée recoucher mon bébé. J’étais mariée à cette époque avec un pilote d’avion. Alors, je savais très bien que ce n’était pas un avion ni un hélicoptère. J’avais le numéro de téléphone de la tour de contrôle de l’aéroport de Québec et j’ai téléphoné tout de suite pour savoir s’ils avaient quelque chose sur leur radar. Le préposé m’a certifié qu’il ne voyait rien à cet endroit sur son radar. Durant que je lui parlais, je voyais toujours l’objet s’éloigner très lentement. Le lendemain, j’ai demandé à mes voisins s’ils avaient vu quelque chose, mais ils n’étaient pas chez eux ce soir là. J’ai été vraiment marquée par cet événement à un point où je ne veux plus revoir une telle chose de ma vie alors qu’auparavant, je trouvais chanceux les gens qui pouvaient en voir. Ça m’a pris un certain temps avant d’être capable de vivre normalement sans avoir peur d’en revoir une de ces nuits.

  »

Enquête

Nom de l’enquêteur La Direction AQU
Classification Vallée
(voir légende)

Rencontre rapprochée   = Close encounter = Rencontre rapprochée

1  Observation

Degré de crédibilité
(indice SVP)
(voir légende)

1   Rapport d’une source connue mais non mesurable.

0   Pas de visite du site ou réponse inconnue.

2   Explication naturelle requérant une grande modification d’un paramètre.

A propos La Direction AQU

Gilles Milot : Président ; Riccardo Melfi : Vice-Président Senior et Responsable du contenu WeB ; Pierre Caron, Ps, C.ht. : Vice-Président Senior et Spécialiste des Enlèvements

2 réflexions au sujet de « Un silence à faire peur et l’impression d’être observée à travers les murs »

Laisser un commentaire